Episode 2 - 4e jour (Osaka)
Aujourd’hui journée libre, passé en majeur partie à Umeda et Namba. Je vais d’abord échangé 2 polos que j’avais acheté en promo à Uniclo car j’avais pris du M japonais ce qui correspond plus à du S Français. Arrivé devant le vendeur, je lui demande en japonais si il parle anglais et là ça a été la panique complète : « euh don’t understand !!! » donc je l’ai rassuré je lui ai dit Daijabu, Daijabu, je lui ai sorti les polos et le tickets de caisse en lui expliquant avec le peu de Japonais que je connais que c’était du M et que moi je fait du L et là il a tout de suite compris et est parti me changer les 2 polos.
Mes achats du jour :
Ensuite je suis allé faire un tour à Loft qui est un magasin vendant de tout et n’importe quoi avec un rayon gadget assez imposant, sans finalement rien acheté. Puis je me suis dirigé vers Tower Record qui est un des plus grand magasin de disque de Osaka pour acheter l’album de Laughlife et j’en ai profité pour craquer aussi sur une rétrospective de chansons de l’intégrale des Winning Eleven, un peu cher mais incontournable pour le fan que je suis.
Mon repas de midi :
Après avoir mangé, direction Yodobaishi Camera qui est un magasin d’électronique gigantesque de 8 étages. J’y ai acheté un puchi puchi qui permet de craquer des bulles à volonté, un endaime qui est une sorte d‘haricot qui se boit avec de la bière (c‘est délicieux) avec le même principe on peut bien sur sortir les graine à l‘infini (et au delà ! Musclor ! ) et également 2 portes clés dans des capsules machines, un représentant le champignons permettant de se transformer en abeille dans Mario Galaxy et l’autre la capsule utilisée dans Dragon Ball qui déploie un objet lorsqu’on appuie dessus.
La célèbre publicité Glico et le quartier de Namba :
Ensuite à 18h je rejoint Oli et Yasuko pour aller manger à Namba. Ce quartier est un des plus connu de Osaka, on y trouve notamment la grande enseigne lumineuse de Glico et les rues sont tellement illuminées qu’on se croirait presque en plein jour. La spécialité culinaire de Osaka est le poulpe qui est présente sous 2 formes : le Takoyaki qui sont des boulettes de poulpe en brochette et le Okonomiyaki, une sorte de galette de farine mélangé avec du chou, des légumes, du poulpe ou du porc, le tout recouvert de mayonnaise et d’une sauce sucrée. N’étant toutefois pas très fan du poulpe, on a testé un restaurant de Okonomiyaki où j’ai donc pris un Okonomiyaki Buta (porc). La préparation de la galette se fait sur une plaque chauffante sur la table et c’est vraiment tout un art pour la réussir. Dans certains restaurants ce sont les clients qui préparent eux même leur Okonomiyaki avec les ingrédients et dans d’autres, comme ce fut le cas heureusement pour moi sinon je craignais le massacre, ce sont les serveurs qui s’y collent.
Des Okonomiyaki à des stades différents de préparations jusqu'au résultat final :
Passé cet énième délice (niveau bouffe c‘est vraiment le pied, tant au niveau diversité que qualité), on est parti boire un verre dans un petit bar pas très loin : le Scorpion, tenu par Tommy, un Japonais très sympa mais pas très doué à Winning Eleven 2008 sur lequel je l’ai battu 4-2. En plus de pouvoir jouer à PES, on peut également faire le DJ et choisir la musique qu’on veut écouté via le PC disposé sur le bar. Au fur et à mesure les clients lui donnant surement quelques CD, il s’est donc construit une jolie mp3 tech. D’ailleurs j’ai ajouté ma contribution en lui filant mon CD de Laughlife, boire de la bière sur Sora en jouant à Winning Eleven 2008 sur PS2, on peut dire que ça le fait !
Pour finir direction dodo et demain journée au parc Studio Universal Japan.
Mes achats du jour :
Ensuite je suis allé faire un tour à Loft qui est un magasin vendant de tout et n’importe quoi avec un rayon gadget assez imposant, sans finalement rien acheté. Puis je me suis dirigé vers Tower Record qui est un des plus grand magasin de disque de Osaka pour acheter l’album de Laughlife et j’en ai profité pour craquer aussi sur une rétrospective de chansons de l’intégrale des Winning Eleven, un peu cher mais incontournable pour le fan que je suis.
Mon repas de midi :
Après avoir mangé, direction Yodobaishi Camera qui est un magasin d’électronique gigantesque de 8 étages. J’y ai acheté un puchi puchi qui permet de craquer des bulles à volonté, un endaime qui est une sorte d‘haricot qui se boit avec de la bière (c‘est délicieux) avec le même principe on peut bien sur sortir les graine à l‘infini (et au delà ! Musclor ! ) et également 2 portes clés dans des capsules machines, un représentant le champignons permettant de se transformer en abeille dans Mario Galaxy et l’autre la capsule utilisée dans Dragon Ball qui déploie un objet lorsqu’on appuie dessus.
La célèbre publicité Glico et le quartier de Namba :
Ensuite à 18h je rejoint Oli et Yasuko pour aller manger à Namba. Ce quartier est un des plus connu de Osaka, on y trouve notamment la grande enseigne lumineuse de Glico et les rues sont tellement illuminées qu’on se croirait presque en plein jour. La spécialité culinaire de Osaka est le poulpe qui est présente sous 2 formes : le Takoyaki qui sont des boulettes de poulpe en brochette et le Okonomiyaki, une sorte de galette de farine mélangé avec du chou, des légumes, du poulpe ou du porc, le tout recouvert de mayonnaise et d’une sauce sucrée. N’étant toutefois pas très fan du poulpe, on a testé un restaurant de Okonomiyaki où j’ai donc pris un Okonomiyaki Buta (porc). La préparation de la galette se fait sur une plaque chauffante sur la table et c’est vraiment tout un art pour la réussir. Dans certains restaurants ce sont les clients qui préparent eux même leur Okonomiyaki avec les ingrédients et dans d’autres, comme ce fut le cas heureusement pour moi sinon je craignais le massacre, ce sont les serveurs qui s’y collent.
Des Okonomiyaki à des stades différents de préparations jusqu'au résultat final :
Passé cet énième délice (niveau bouffe c‘est vraiment le pied, tant au niveau diversité que qualité), on est parti boire un verre dans un petit bar pas très loin : le Scorpion, tenu par Tommy, un Japonais très sympa mais pas très doué à Winning Eleven 2008 sur lequel je l’ai battu 4-2. En plus de pouvoir jouer à PES, on peut également faire le DJ et choisir la musique qu’on veut écouté via le PC disposé sur le bar. Au fur et à mesure les clients lui donnant surement quelques CD, il s’est donc construit une jolie mp3 tech. D’ailleurs j’ai ajouté ma contribution en lui filant mon CD de Laughlife, boire de la bière sur Sora en jouant à Winning Eleven 2008 sur PS2, on peut dire que ça le fait !
Pour finir direction dodo et demain journée au parc Studio Universal Japan.